Éditions précédentes

Mise à jour le   17/10/2023
Retrouvez ici une rétrospective des précédentes éditions du Campus Innovant et Durable. 

Les projets développés lors des marathons créatifs 2022

Problème initial

Le campus Sciences possède un espace vert inaccessible au public, celui-ci n'est constitué que de gazon à quelques arbres près. 

Face au changement climatique auquel nous sommes confrontés, augmenter la faune et la flore en ville permet de diminuer la température localement, de re-perméabiliser les sols et de rééquilibrer les populations d'espèces invasive.
De plus, le contact avec la nature a un impact positif sur la santé globale, ce qui sera bénéfique aux habitant des quartiers voisins très bâtis.

Solution envisagée

Le campus Sciences possède un espace vert inaccessible au public, celui-ci n'est constitué que de gazon à quelques arbres près. Afin d'attirer de la biodiversité, il serait préférable de le voir fleuri toute l'année.
Pour cela, multitude de possibilités nécessitant peu d'entretien comme enfouir des bulbes à floraison printanière, disperser des graines se ressemant seules, etc.
Un récupérateur d'eaux de pluies peut même être envisagé sous une gouttière pour l'arrosage.

L'équipe

  • Inizan Manon
  • Albacete Gaëlle
  • Chanthara Sabine
  • Deschamps Guillaume
  • Mandin Michel
  • Rainer Catherine

 

Problème initial

L'usage généralisé d'équipements informatiques/numériques est une source importante de dépenses énergétiques, d'autant que certains équipements sont sous-utilisés ou restent alimentés même lorsqu'ils ne sont pas utilisés.

Solution envisagée

Le projet vise à déterminer les équipements concernés et à étudier les pistes permettant de réduire cette dépense énergétique ou, à dépense équivalente, à optimiser les usages afin de couvrir plus de besoins.

Les équipements visés peuvent aller du PC ou du smartphone aux serveurs ou au réseau WiFi de l'UBO. D'autres mesures pourraient émerger de ce projet, telle que la mise en commun de ressources ou autres.

L'expérimentation de la solution consiste à installer des compteurs et des thermomètres connectés dans certains datacenters de la faculté des Sciences et Techniques, ainsi que dans une salle de TP informatique. Ils permettront ainsi de mesurer la consommation électrique avant et après la mise en place d’actions de réduction (arrêt automatique des salles de TP, délestage des serveurs, etc.).

L'équipe

  • François Roels, DSIUN
  • Michel Villeneuve, DSIUN
  • Arnaud Moulard, DSIUN
  • François Billant, DSIUN

Problème initial

L'impact de la pollution plastique est un fort enjeu environnemental. Bien que cette problématique soit de plus en plus souvent traitée, peu d'outils nous permettent réellement d'avoir une vision globale de ce problème : notions de continuum terre-mer, sources, transports, impacts et solutions.

Solution envisagée

L'idée est de proposer un jeu coopératif, sur le base d'une représentation de bassin versant, qui propose aux participants de faire face à une contamination continue de l'écosystème. Aux participants de mettre en oeuvre des solutions pour tenter de maitriser cette contamination.
Le message que l'on souhaite transmettre à travers le jeu est celui de la stratégie des 3R : réduire, réutiliser, recycler : sans réduction, la partie est perdue. Les différentes solutions proposés par le jeu auront donc des impacts plus ou moins forts sur le niveau de contamination.
Une fois le jeu créé, il sera déployé au sein de l'ensemble de l'UBO (et au-delà) via l'organisation de sessions massives de jeu lors des temps forts annuels UBO/DD : journée de l'océan, journée du personnel, séminaire de rentrée, animations dans les formations étudiantes... Au-delà de l'UBO, le jeu s'adressera aussi au grand public lors de temps forts comme la fête de la science, NEDC...

L'équipe

  • L'équipe est pour le moment composée de :
  • Ika Paul-Pont, chercheuse LEMAR IUEM
  • Camille Richon, post doc LOPS IUEM
  • Lisa Weiss, post doc LOPS IUEM
  • Aanchal Jain, doctorante AMURE IUEM
  • Sebastien Hervé, graphiste IUEM
  • Anne Royer, ingé UAR IUEM
  • + des partenaires du projet Interreg PPP (hors UBO)
plasticgameteam

 

Point de départ du projet

Dans le contexte de la rénovation énergétique de 2 bâtiments de l’IUT de Quimper, les deux composantes de l’université concernées (IUT et ESIAB) par le site ont engagé des réflexions et réalisé des groupes de travail avec plusieurs partenaires afin de réduire l’empreinte environnementale de nos activités sur le site quimpérois de l’université.

Solution envisagée

Une première action identifiée pour réduire les émissions de CO2 sur le site est d’inciter les usagers du site ESIAB - IUT Quimper à ne plus utiliser la voiture de manière individuelle en implantant des abris vélo, en offrant des services de location de vélos électriques, des zone de covoiturage, valorisant l’utilisation des pistes cyclables et du réseau de bus (information et signalétique) …. À cela s’ajoute une démarche territoriale quimpéroise avec la communauté d’agglomération de Quimper, Quimper Bretagne Occidentale (QBO), et le réseau de transport collectif de l’agglomération, la QUB, pour relier le site de l’IUT- ESIAB à celui du Pôle Universitaire.

L'équipe

  • Laure DESCHAMPS : Direction IUT Quimper
  • Alexandra KERLIDOU : Chargée de Communication
  • Rozenn CHANVRY LE PAPE : Référente DD&RS ESIAB
  • COROLLER Louis : Direction adjoint ESIAB et Responsable de site ESIAB Quimper
  • Pascal LE FLOCH : Direction IUT Quimper
  • Michael HAUSLE : Chargé de mission "mobilités actives" QBO
  • Hélène LANIESSE : Responsable Marketing KEOLIS
  • Pascal PARRIEL : Co Président association KERNAVELO
  • Estelle THUILLIER : Membre association KERNAVELO et personnel IUT

 

Problème initial

Très souvent, lorsqu'il pleut et en particulier au pôle universitaire Pierre-Jakez Hélias à Quimper, les étudiants ont le choix entre se réfugier dans le hall ou bien... se réfugier dans le hall. C'est pourquoi, il est nécessaire d'envisager une solution durable répondant aux atte ntes suivantes : pouvoir déjeuner sans forcément recourir tous les jours de la semaine au restaurant universitaire, pouvoir s'abriter sans forcément rester à l'intérieur d'un bâtiment, pouvoir se détendre et échanger en extérieur sans forcément avoir froid et être mouillé.

Solution envisagée

La création d'abris dont les toits et façades seront végétalisés et dans lesquels se nichera du mobilier eco-responsable pour se détendre, déjeuner, s'abriter.

  1. Installer quatre abris végétalisés au sein du pôle à quatre endroits différents (endroits mentionnés sur la cartographie en pièce jointe).
  2. Embellir ces derniers de pots en terre cuite hébergeant diverses variétés de plantes pérennes.
  3. Fleurir les contours des zones avec les bulbes récupérés, avec l’aide des étudiants « parrains » Réitérer l’action à chaque rentrée universitaire pour impliquer les étudiants dans la vie du campus.

L'équipe

  • Anne MORVAN – Responsable administrative de l’Institut national supérieur du professorat et de l'éducation
  • Paolo CARVALHO – Étudiant en troisième année de droit – Parcours droit public – Pôle universitaire Pierre-Jakez Hélias
  • Philippe Guillou – Directeur du pôle universitaire Pierre-Jakez Hélias

Problème initial

Le déploiement du verger solidaire a commencé à Quimper avec la plantation de 22 fruitiers par les étudiants de l'Inspé dans le cadre de la semaine académique du développement durable. Nous allons poursuivre les plantations avec deux autres ateliers avec, entre autres plantations, les arbres du cinquantenaire. En ce moment, le temps très humides nous dispense de tout arrosage mais au printemps, il n'en sera sûrement pas de même.

Solution envisagée

En l'absence de points d'eau extérieur, nous souhaitons installer deux récupérateurs d'eau pluie hors sol de 3000 litres chacun. Ils serviront non seulement à arroser le verger mais aussi le potager pédagogique de l'Inspé dont l'agrandissement est prévu à l'arrière du bâtiment.

L'équipe

  • Anne MORVAN – Responsable administrative de l’Institut national supérieur du professorat et de l'éducation
  • Philippe Guillou – Directeur du pôle universitaire Pierre-Jakez Hélias

Problème initial

L'UBO doit améliorer son bilan carbone. Permettre la transition des mobilités afin que les déplacements des personnels et des étudiants vers les campus soient le plus souvent possible réalisés avec un mode actif (marche à pied, vélo, VAE ou trottinette) est un objectif réaliste et le résultat envisageable est à la hauteur de l'urgence climatique.

Certains leviers à l'abandon progressif de l'autosolisme ont déjà été identifiés dans la littérature et grâce à une série d'enquête auprès des étudiants et personnels de l'UBO (2021 par questionnaire et 2022 série d'entretiens semi-direct ifs). Ces études montrent que les 2 principaux freins à l'utilisation du vélo sont :

  • le sentiment de sécurité sur les infrastructures (44%),
  • le stationnement à son domicile, sur son lieu de destination, en ville, c'est-à-dire la peur du vol des vélos (39%),
  • le relief ou les efforts à fournir et l'inconfort c’est–à-dire le besoin de prendre une douche (49%),
  • les intempéries (55%).

D'après nos entretiens avec les acteurs, des actions sont en cours pour lever certains freins à la pratique du vélo, par exemple le stationnement sur les campus. Ici, nous nous intéressons au sentiment de sécurité sur les infrastructures des campus de l'UBO et aux abords. D'après nos entretiens, peu d'étudiants et de personnels connaissent l'ensemble des moyens à disposition pour venir étudier ou travailler autrement qu'en voiture.

Solution envisagée

Nous souhaitons mener une campagne de sensibilisation et d'information multicanaux pour promouvoir les modes actifs (objectif 1). Sachant que les effets sont peu convainquant sans engagement (), nous voulons y ajouter l'effet d'un marketing individualisé, c'est-à-dire d'une communication engageante auprès de groupes d'étudiants et de personnels (publication Albane Gaspard "Changer les comportements, faire évoluer les pratiques sociales vers plus de durabilité, l'apport des sciences humaines et sociales pour comprendre et agir" : lien pdf) En outre, nous estimons qu'il manque un maillon à la chaîne qui mène depuis la voiture vers le vélo ou à la marche à pied. Une étape qui permettrait de vaincre le sentiment d'insécurité sur les infrastructures. C'est pourquoi nous proposons de filmer les itinéraires piétons et cyclistes vers les campus de l'UBO. Après discussion avec des chercheurs en réalité virtuelle (RV), il est fortement probable qu'une expérience immersive via la diffusion des films dans des casques de RV, permettra à l'utilisateur de surmonter ses appréhensions (peur des voitures, des chutes, de ne pas connaitre l'itinéraires, etc). La méthodologie d'enquête propose de tester la diminution de la part modale de l'autosolisme (traductible en gaz à effet de serre) parmi les personnes recevant une campagne de d'information et de sensibilisation (groupe 1), ceux recevant cette même campagne + un marketing individualisé (groupe 2) et ceux expérimentant un trajet de RV à pied ou à vélo en plus de la campagne de communication et du marketing individualisé (groupe 3). Ces expériences devront prendre place chez les étudiants et les personnels. Aussi, nous formerons 6 groupes. Le nombre de sujets nécessaires sera calculé en fonction de la puissance comme du niveau de preuve souhaité. A priori, une trentaine de personnes par groupe sont pressenties.

L'équipe

  • Alice Grasset, ingénieure de recherche au Labers, UBO, porteuse du projet

Point de départ

L'objectif commun est de remplacer l'usage de la voiture dans les déplacements du quotidien, qui en moyenne sont de 12km et durent une demi heure..., par des véhicules intermdiaires comme le vélo électrique solaire.

Solution envisagée

Il s'agit de participer au financement de l'Xd qui vise à créer simultanément de nouveaux véhicules (efficients, réparables, reconditionnables, légers, économes), de nouvelles industries (locales, complexes, in-délocalisable, capables de monter, produire, démonter, réparer, faire évoluer les véhicules au plus près des besoins et des territoires) et donc une large communauté aux compétences multiples et complémentaires.L'ADEME organise un programme global sur 3 années, découpé en cycle annuel. La 1ère année est dédiée à l'idéation, à l'émergence d'une multitude de concepts, à des études de design et de capacités industrielles. La 2nd année vise le passage à des prototypes fonctionnels qui seront expérimentés en usage réel sur plusieurs semaines. La dernière année élargira aux moyens de production, assemblage, réparation, reconditionnement, pour réinterroger le design des véhicules.

L'équipe

  • Alice Grasset, ingénieure de recherche au Labers, UBO, porteuse du projet

Retour en images sur les marathons créatifs 2022

Les projets développés lors des marathons créatifs 2021

Point de départ

L’idée étant de fédérer personnel et étudiant, plus la participation sera grande plus le projet aura du sens. Pour ce faire, l’équipe sera composée des associations étudiantes du Pôle : Acid (Droit), la League (LEA-Anglais), Scen’Art (Histoire de l’Art- Bilicence droit-art), des personnels administratifs (Pôle, Inspé, BU) et des personnels enseignants (Pôle, Inspé).

L’Inspé se propose de rapatrier sur le Pôle des plants se trouvant actuellement sur l’ancien site notamment une collection de rosiers. Il dispose également d’un budget dédié car, dans le cadre de la formation des futurs professeurs des écoles, la pratique du jardin fait l’objet d’un enseignement.

Solution envisagée

Le Pôle de Quimper dispose de plusieurs espaces verts, certains plantés de grands arbres aux entrées, d’autres d’arbres plus modestes, en partie mourants voire déjà morts, à proximité du parking.

L'idée est de créer en complément un verger solidaire, à destination des étudiants et personnels, composé essentiellement de pommiers et poiriers, si possible avec des variétés locales ou anciennes pour allier un aspect conservatoire et de diffusion de ces variétés.

L’entretien et la taille des fruitiers pourraient donner lieu à des ateliers ouverts au public. Quant aux récoltes, elles seraient prioritairement destinées aux étudiants et au personnel. Mais elles pourraient aussi « alimenter » en fruits frais l’épicerie solidaire.

Ce projet ferait corps avec le potager étudiant et il pourrait même lui donner un nouveau souffle. De même, il trouverait sa place avec le jardin pédagogique de l’Inspé.

La mise en place de ce projet nous permettra également d’installer des arbustes floraux pour attirer les insectes butineurs et pollinisateurs, des hôtels à insectes et des nichoirs dans les grands arbres déjà présents.

Le pôle manque en soi de couleurs et de vie « animale » malgré des surfaces vertes conséquentes. Une nouvelle politique d’entretien de ces espaces verts doit être pensée en lien avec le projet du verger solidaire (tonte réduite, prairie fleurie, compostage…).

Le porteur du projet

  • Philippe Guillou

Point de départ

Il existe un domaine sur lequel nous avons tous une influence, en tant qu’enseignant-chercheur, étudiant, personnel ou simplement en tant que citoyen. Ce domaine, bien connu de tous, est celui des déchets plastiques. Notre contribution à ce fléau mondial augmente d’autant plus lorsque nos activités professionnelles se réalisent, toute ou partie, dans un laboratoire.

En 2014, une étude de l’Université d’Exeter a estimé que les scientifiques des sciences du vivant génèrent à eux seuls, environ 5,5 millions de tonnes de déchets plastiques par an. Par nos recherches, nous participons donc involontairement à ce problème majeur.

L’Université de Bretagne Occidentale, avec sa trentaine d’unités de recherche, ses plateformes technologiques de pointe favorise l’émergence de projets de recherche innovants… et des déchets plastiques associés.

A l’heure où de nombreux gouvernements interdisent progressivement l’utilisation de plastiques à usage unique et où le geste de tri se généralisent à la maison, chaque scientifique a la propre responsabilité de planifier ses protocoles suivant ses trois principes bien connus : réduire, réutiliser et recycler.

Mais comment ces principes dans les labos de l’UBO ? Réfléchissons ensemble à l’amélioration de la fin de vie de nos plastiques de labo. Tubes, flacons, cônes, boites de Pétri, pipettes recèlent encore bien des usages possibles après leur passage au labo. Trouvons une solution pour les transformer en objets durables et désirables !

Solution envisagée

Le projet LAB'oucle est un projet de recyclage des plastiques de laboratoire non-souillés. Les laboratoires de recherche, notamment universitaires, produisent dans leurs activités quotidiennes des quantités importantes de déchets plastiques non-souillés (tubes, flacons, pipettes, cônes…) qui ne sont actuellement pas valorisés.

Nous avions besoin d'un moyen de trier facilement le plastique par types, et il devait tenir dans un petit espace de laboratoire. Cependant, les différents types de plastique ne sont pas facilement identifiables et beaucoup ne portent aucune étiquette numérique. Par souci de compromis et de simplification, nous avons décidé qu’il serait acceptable de séparer les différents types d’éléments. Nous avons opté pour un réceptacle modulaire à bacs empilés pouvant contenir les trois articles en plastique les plus courants. Ces trois bacs contiennent des exemples d'éléments à l'extérieur, montrant rapidement et clairement quelle heure appartient à où. Ces bacs sont empilables et amovibles, ce qui permet d'en ajouter d'autres. Ils ont des couvercles à charnières, de sorte qu'ils peuvent être transportés et jetés dans des bacs de rétention plus grands hors site, ou directement dans la déchiqueteuse de plastique.

Le "Makeathon" nous a permis de déployer le projet au sein de l’IUEM, qui est notre site pilote pour cette action. Depuis novembre 2021, nous avons déployé des points de collecte des plastiques de laboratoire non-souillés à différents endroits de l’institut. Cette première étape a été associée à de nombreuses actions de communication auprès des agents pour leur expliquer l’objectif de cette démarche et les impliquer au maximum. Nous avons également débuté les tests de broyage à partir des différents déchets plastiques récupérés dans les laboratoires.

Dans un premier temps, l’idée est de poursuivre le déploiement de la collecte des déchets plastiques de laboratoire non-souillés à l’IUEM pour avoir une belle diversité de plastiques et ensuite de poursuivre les tests de transformation à l’Open Factory pour qu’on trouve le meilleur process de transformation, ou du moins celui qui correspond à nos ressources et à nos besoins.

A long terme, j’aimerais beaucoup que ce projet se multiplie, qu’il soit repris par d’autres laboratoires, d’autres universités, d’autres structures pour que, à terme, chaque organisation qui produit du plastique dans ses activités puisse assurer sa valorisation et sa transformation de manière locale, autonome et durable.

Le porteur du projet

  • Mallorie Bodériou (IUEM)
  • Tomi Murovec (UBO Open Factory)
  • + autres
Plastiques

Point de départ

Aménagement et végétalisation de l'UBO. 

Solution envisagée

Ce projet étudiant consiste en un aménagement accueillant des plantes grimpantes. S’inscrivant dans une démarche du développement durable l’idée serait de proposer une végétalisation de surface/structure extérieur de la manière suivante : Utilisation de plante endémique, ou s'adaptant bien au milieu du campus du bouguen pour limiter l’intervention de l’homme dans le développement des plantes grimpantes.

Utilisation de matériaux en provenance de la revalorisation de déchets, ou bien du recyclage, pour réduire le coût écologique des structures accueillant les plantes.

Dans l’hypothèse d’un déploiement plus large faire appel à des acteurs locaux, que ce soit pour l’installation des structures(recyclerie, artisan, ect...) ou les plantes en elles mêmes (maraîchers , ect..)

Ainsi cette première expérimentation, prenant place sur l’escalier extérieur de l’UOF pourrait permettre de mieux appréhender les problématiques pouvant être rencontrer dans un déploiement plus vaste de tel aménagement.

Le porteur du projet

  • Ange Leyrit
murvr

Point de départ

L’idée est de surfer sur l’actualité de ces derniers temps est de mettre en place sur le campus un système ludique de collecte des mégots de cigarettes (évitant ainsi de les voir trainer au sol et polluer l’environnement) et de travailler avec un partenaire local pour développer sur le campus du mobilier urbain directement utilisable par les étudiants.

Solution envisagée

Même si le nombre de fumeurs décroit depuis 2 à 3 ans, il n’en demeure pas moins que près de 30% des 18-25 ans fument. Dans un 1er temps, le déploiement d’urnes « ludiques » sur tout le campus brestois (avec une extension possible sur Quimper et Morlaix) permettrait de sensibiliser les fumeurs sur l’impact du tabac sur l’environnement. Dans un second temps, le recyclage des mégots illustrés de façon tangible avec du mobilier urbain, en plus d’être utile aux usagers, permettrait de communiquer sur l’importance de la gestion de nos déchets.

L'équipe

  • Erin QUELENNEC Etudiant en Sciences de la Vie et de la Terre mention Physique Chimie
  • Francky BUISSON Personnel Service Patrimoine
  • Catherine BOCHER-MONAIGNE Personnel UFR LSH
équipe clope house

Retour en images sur les marathons créatifs 2021