Ma thèse en 180s 2023 - Qualification Brest/Lorient-Vannes

Le
À 18h30
Faculté des Lettres et Sciences Humaines, Amphithéâtre Guilcher
mt180

Ils ont trois minutes pour vous convaincre

Le 2 mars prochain, 12 doctorantes et doctorants de Brest, Lorient et Vannes vont relever le défi et présenter leurs travaux de recherche dans des domaines très variés (écologie, optique, linguistique, histoire, science des matériaux...), devant le public vaste et diversifié. Les règles sont simples, chacun à 3 minutes et une seule diapositive !

 

Leur objectif ? Vous partager leur sujet de thèse avec pédagogie, humour et parfois émotion, pour raconter leur quotidien et les enjeux de leur travail de recherche, mais aussi vous convaincre ! À l’issue des présentations, 8 prix seront décernés : 5 par un jury d'experts et 3 par le public. Les lauréats seront alors qualifiés pour participer à la finale régionale du concours qui aura lieu à Rennes le 14 mars.

 

Rendez-vous à 18h30 dans l'amphithéâtre Guilcher de la faculté des Lettres et sciences humaines de Brest ou en ligne sur la chaîne Youtube de l'UBO pour encourager les candidats et voter pour votre coup de coeur.

Les 12 candidates et candidats

Zoé
  • Quel est votre parcours ?

Je suis diplômée ingénieure géomètre de l'Ecole Supérieure des Géomètres Topographes (ESGT, Le Mans) depuis 2020. J'ai travaillé 1 an en tant qu'ingénieure en cabinet sur Grenoble et Lyon avant de commencer une thèse en octobre 2021 à Brest.

  • En complément, auriez-vous un trait de votre personnalité, une anecdote à partager pour mieux vous connaître ?

Il y a des anecdotes qui ne pourront être partagées qu'une fois la soutenance de thèse passée ! Mais si je devais choisir un trait de ma personnalité... Je suis une passionée, curieuse d'en apprendre sur tous les sujets.

  • Pourquoi participez-vous à Ma thèse en 180 s?

Je participe à "Ma thèse en 180s" pour partager ce que je fais, informer le public et essayer de sensibiliser. C'est aussi un challenge que je me suis lancé à moi-même.

  • Qu'est-ce qui vous paraît le plus difficile à réaliser dans l'exercice ?

Le plus difficile est de sélectionner les quelques éléments que l'on souhaite présenter parmi une liste infinie d'informations qu'on aimerait transmettre. La difficulté s'accroît avec le taux de pluridisciplinarité du sujet.

  • Qu’est-ce que les 2 journées de formation vous ont apporté ?

La formation permet de sortir de sa zone de confort pour les plus timides, parler de nos travaux devant des inconnus, faire de l'improvisation... C'est un très bon exercice pour prendre du recul sur son sujet, le réduire afin de vulgariser au mieux son message.


Liliane-Chreim
  • Quel est votre parcours ? 

Licence et M1 en Droit au Liban; M2 droit public général à Rennes 1; aujourd'hui en 3eme année de doctorat à l'UBS en droit public.

  • En complément, auriez-vous un trait de votre personnalité, une anecdote à partager pour mieux vous connaître ? 

J'ai voulu quitter le droit en L1 pour aller en musicologie. Mais je n'ai pas osé et donc j'ai fait du théâtre social à côté de mes études et le conservatoire en jazz. 

  • Pourquoi participez-vous à Ma thèse en 180 s? 

Parce que j'aime bien l'idée de sensibiliser le grand public sur des sujets qui peuvent être compliqués à expliquer. 

  • Qu'est-ce qui vous paraît le plus difficile à réaliser dans l'exercice ? 

C'est toujours compliqué à expliquer pourquoi une thèse en droit changera quelque chose.

  • Qu’est-ce que les 2 journées de formation vous ont apporté ? 

En plus des belles rencontres avec des doctorants qui travaillent sur des sujets de thèse fascinants, des compétences pour parler en public et pour expliquer les idées de la façon la plus simple possible. 


Paul-Daguinos
  • Quel est votre parcours ?
Après mon Bac S, je me suis dirigé vers une école préparatoire aux grandes Ecoles en biologie/géologie (BCPST), puis, à l’obtention de mes concours, j'ai intégré une école d’ingénieur, l'ENSEGID à Bordeaux, spécialisé en géologie, hydrologie et environnement. C'est à partir de là que je me suis intéressé aux géosciences, et que j'ai décidé de partir en recherche. J'ai donc quitté Bordeaux après mon diplôme, et aujourd'hui je suis doctorant en géologie marine à Brest.
  • En complément, auriez-vous un trait de votre personnalité, une anecdote à partager pour mieux vous connaître ?
Je suis assez social, très joueur et très curieux. J'ai donc testé plusieurs sports, du théâtre, un peu de danse, des assos (bureaux d'étudiants, brassage de bières, etc.). Comme dirait ma mère: "s'il y avait un spectacle, une lecture ou toutes autres activités de mise en scène, c'était sûr qu'il était encore volontaire...". Pour moi ça a toujours été un jeu et du moment que cela m'amuse, je suis partant.
  • Pourquoi participez-vous à Ma thèse en 180 s?
Globalement les gens que je cotois hors du cercle universitaire se sentent très loin de la science et de ces enjeux. Ma thèse en 180s est pour moi une occasion de présenter son travail à un public varié et ainsi renoué ce lien.
  • Qu'est-ce qui vous paraît le plus difficile à réaliser dans l'exercice ?
Le plus difficile à mes yeux c'est le contrôle du temps vis à vis de notre présentation. Avec le stress on est amené à plus facilement perdre son discours, parler trop vite etc., et donc ne pas respecter le temps requis. La gestion de l'ensemble de ces facteurs est primordiale.
  • Qu’est-ce que les 2 journées de formation vous ont apporté ?
La formation m'a permis de renouer avec les conseils pour bien gérer sa diction, sa voix, son tempo... De manière générale, c'est surtout les retours en direct qui ont été pour moi le plus bénéfique pour corriger ma présentation.

Jennifer-Laurent
  • Quel est votre parcours ?

J'ai fait une licence en Biologie des Organismes et des Populations à Brest, puis un master en Biologie Marine spécialité Écosystèmes Marins à l'IUEM à Brest.
Avant de commencer la thèse, j'ai travaillé un peu plus d'un an et demi en tant qu'assistant ingénieur à l'IUEM (Lemar).

  • En complément, auriez-vous un trait de votre personnalité, une anecdote à partager pour mieux vous connaître ?

Depuis toute petite, je suis passionnée par la mer. A 17 ans, j'ai donc quitté le fin fond de ma Picardie natale direction la Bretagne, pour en apprendre davantage sur le milieu marin. Voilà maintenant dix ans que je suis à Brest, et que je me consacre à ce qui me plaît le plus.

  • Pourquoi participez-vous à Ma thèse en 180 s?

J'ai souhaité participer au concours MT180 pour me dépasser, sortir de ma zone de confort et sortir des présentations de thèse classiques et académiques.

  • Qu’est-ce que les 2 journées de formation vous ont apporté ?

En ce qui me concerne, le plus difficile dans cet exercice est de vulgarise et de simplifier suffisamment le discours pour qu'il soit abordable par toutes et tous, sans pour autant perdre l'essentiel de l'information scientifique que l'on cherche à transmettre aux autres.

  • Qu’est-ce que les 2 journées de formation vous ont apporté ?

Ces journées de formation m'ont beaucoup appris sur la gestion du stress avant de prendre la parole en public.


Louis-LeGue
  • Quel est votre parcours ?

Après un DUT Sciences et Génie des Matériaux, j'ai intégré une école d'ingénieur en mécanique des matériaux composites. J'ai réalisé ma formation d'ingénieur en alternance dans la recherche et le développement, ce qui m'a motivé à poursuivre en thèse.

  • En complément, auriez-vous un trait de votre personnalité, une anecdote à partager pour mieux vous connaître ?

Je suis passionné par mon sujet, je peux en parler des heures, sauf qu'apparemment l'exercice ne le permet pas...

  • Pourquoi participez-vous à Ma thèse en 180 s?

Je participe à cet exercice pour sensibiliser les gens aux dangers de la pêche fantôme, mais également pour m'entrainer à parler en public.

  • Qu'est-ce qui vous paraît le plus difficile à réaliser dans l'exercice ?

Tenir le délai imposé tout en faisant passer un message scientifique clair et accessible.

  • Qu’est-ce que les 2 journées de formation vous ont apporté ?

Les 2  jours de formation m'ont apporté des conseils et des retours constructifs sur la réalisation de mon texte.


Husam-Maayah
  • Quel est votre parcours ?

J’ai obtenu une licence en coopération entre l’Université de Yarmouk en Jordanie et l’Université Lumière Lyon 2 en linguistique moderne, et un master en coopération entre l’Université de Yarmouk et l’Université de Nantes en analyse du discours politique. Dans mon mémoire de master, j’ai analysé le discours du président Emmanuel Macron en réponse au mouvement des Gilets Jaunes.

  • En complément, auriez-vous un trait de votre personnalité, une anecdote à partager pour mieux vous connaître ?

Je joue du violon, et je fais de la plongée libre. J’adore voyager aussi, et j’ai visité 51 pays. Je suis également passionné par l’apprentissage des langues, parlant 5 langues, à savoir l’arabe, le français, l’anglais, l’allemand et l’italien.

  • Pourquoi participez-vous à Ma thèse en 180 s?

À mon avis, le coronavirus – l’idée initiale de ma thèse – est l’un des thèmes qui unissent tous les pays du monde, et c’est donc un sujet qu’il vaut la peine de présenter dans ce type de compétition. J’aimerais faire l’expérience de partager mes recherches avec le plus grand nombre de personnes.

  • Qu'est-ce qui vous paraît le plus difficile à réaliser dans l'exercice ?

La plus grande difficulté est le processus de synthèse d’un travail de recherche qui dure 3 ans en 3 minutes.

  • Qu’est-ce que les 2 journées de formation vous ont apporté ?

La formation m’a beaucoup apporté, dont le plus important est de me familiariser avec différents sujets de recherche.


Prunelle-Mamenguy
  • Quel est votre parcours ?

Après l’obtention du bac A2 au lycée  Nelson Mandela de Libreville, je me suis inscrite au département d’études ibériques et latino-américaines de l’Université Omar Bongo du Gabon , où j'ai obtenu une licence dans le domaine. J'ai poursuivi en master recherche, LLCER espagnol, au département des études hispaniques à l’Université Bretagne-Sud où j'ai obtenu mon diplôme. Après 2 ans en tant que professeure d’espagnol, contractuelle de l’éducation nationale, j'ai démarré une thèse mêlant linguistique et didactique de l’espagnol langue étrangère, dans l’optique de la mise en place de nouvelles méthodes d’enseignement des langues par la phraséologie.
 

  • En complément, auriez-vous un trait de votre personnalité, une anecdote à partager pour mieux vous connaître ?

Je suis une timide qui le dissimule très bien. Mes amis disent de moi que j’ai une mémoire de disque dur( défectueux 😅j’en conviens). .
 

  • Pourquoi participez-vous à Ma thèse en 180 s?

Je participe à ma thèse en 180 pour la vulgarisation scientifique de ses travaux.

  • Qu'est-ce qui vous paraît le plus difficile à réaliser dans l'exercice ?

Faire tenir plusieurs heures de travail, en 180 secondes.

  • Qu’est-ce que les 2 journées de formation vous ont apporté ?

Cette formation m’a aidé à développer un esprit de synthèse, à adapter mon discours face à un public hétérogène.


Ilias-Maoudj
  • Quel est votre parcours ?

J'étais au lycée à Saint-Brieuc où j'ai obtenu un bac S spé maths (avec l'ancienne réforme). Je suis diplômé de l'Ecole Nationale d'Ingénieurs de Brest (ENIB) en informatique, électronique et mécatronique. J'ai aussi un Master Systèmes Intelligents, Interactifs et Autonomes (SIIA, orienté recherche) à l'UBO. Depuis longtemps je voulais être dans le domaine médical mais c'est au cours d'un stage en Recherche & Développement (R&D) en entreprise que j'ai compris que je voulais faire de la recherche. J'ai effectué mon stage de fin d'études au Laboratoire de Traitement de l'Information Médicale (LaTIM) sur la détection automatique d'outils chirurgicaux en orthopédie puis on m'a proposé de poursuivre en thèse. J'ai tout de suite été intéressé par le sujet sur la neurochirurgie et je me suis lancé !

  • En complément, auriez-vous un trait de votre personnalité, une anecdote à partager pour mieux vous connaître ?

J'essaye de toujours avoir le sourire parce que c'est contagieux alors si je peux le transmettre c'est top !

  • Pourquoi participez-vous à Ma thèse en 180 s?

J'aime beaucoup les exercices de vulgarisation et j'aime écouter les autres vulgariser les leurs, comprendre des sujets dans des domaines où je n'ai aucune connaissance est une super expérience.

  • Qu'est-ce qui vous paraît le plus difficile à réaliser dans l'exercice ?

Trois minutes c'est court. Savoir trier les informations, les arranger de manière à être compréhensible tout en étant intéressant, ça ne se fait pas en un claquement de doigts.

  • Qu’est-ce que les 2 journées de formation vous ont apporté ?

Sélectionner les éléments importants de ma thèse à présenter dans la tonne d'informations qu'elle peut contenir. Aussi, rencontrer d'autres doctorants de milieux totalement différents et découvrir tous les sujets comme dit précédemment.


Mathisse-Meyneng
  • Quel est votre parcours ?

J'ai commencé après le lycée par un BTS en laboratoire, puis à l'université j'ai eu mes premiers cours d'écologie en licence 3. J'ai ainsi pu accéder au master Biologie et Écologie Marine de l'université de Bordeaux, et découvrir le milieu de l'écologie microbienne dans mes différents stages dans des laboratoires de recherche.

  • En complément, auriez-vous un trait de votre personnalité, une anecdote à partager pour mieux vous connaître ?

Je dirais que suis quelqu'un de curieux, qui aime mieux comprendre le monde qui nous entoure, c'est sûrement ce pourquoi j'en suis ici aujourd’hui.

  • Pourquoi participez-vous à Ma thèse en 180 s?

La raison principale est de sensibiliser le grand public sur mon sujet et sur l'écologie de manière générale. C'est aussi un très bon exercice pour apprendre à gérer son stress.

  • Qu'est-ce qui vous paraît le plus difficile à réaliser dans l'exercice ?

Le plus difficile selon moins c'est de synthétiser de manière claire et compréhensible pour tous un sujet très spécifique, et le tout dans un temps très court.

  • Qu’est-ce que les 2 journées de formation vous ont apporté ?

Ces 2 journées ont été riches en information et en pratique notamment autour de la prise de parole, avec des exercices d'improvisation, de respiration ou encore de prononciation.


Florie-Ogor
  • Quel est votre parcours ?

Après un baccalauréat scientifique, j'ai choisi d'aller en prépa maths au lycée de Kerichen à Brest. J'ai obtenu un diplôme d'ingénieur de Télécom physique Strasbourg avec la spécialité optique en 2021. Ma curiosité et mon intérêt pour la recherche m'ont poussée à faire un master en optique appliqué à la santé en parallèle de mon école d'ingénieur. C'est ce même intérêt pour la recherche qui m'a amenée à faire une thèse dans le département d'optique d'IMT Atlantique.

  • En complément, auriez-vous un trait de votre personnalité, une anecdote à partager pour mieux vous connaître ?

Longtemps régatière puis maintenant monitrice de voile le week-end, je me sens ressourcée et rechargée grâce à ce contact fréquent avec l'océan. Un sujet intéressant répondant à mon projet sur Brest s'est présenté : c'était une aubaine et le début d'une belle aventure pour moi !

  • Pourquoi participez-vous à Ma thèse en 180 s?

J'ai choisi de participer à ma thèse en 180 s pour dévoiler un sujet peu connu, souvent invisible aux yeux du grand public. Je trouve que c'est un format intéressant qui incite à synthétiser un grand nombre d'informations.

  • Qu'est-ce qui vous paraît le plus difficile à réaliser dans l'exercice ?

Rendre compréhensible mon sujet m'a demandé beaucoup de réflexion. Même quand j'ai un temps illimité pour l'expliquer, mon sujet reste souvent flou aux yeux de tous. De plus, canaliser mon stress pour présenter mon travail devant autant de monde est un vrai challenge.

  • Qu’est-ce que les 2 journées de formation vous ont apporté ?

Des deux journées de formation, je garderai en mémoire les nombreux conseils de nos formatrices concernant la prise de parole en public et les rencontres avec les autres doctorants : c'est toujours enrichissant de rencontrer des doctorants qui travaillent dans des univers très différents du nôtre.


William-Pensec
  • Quel est votre parcours ?

Après avoir eu mon bac Scientifique (S-SVT) option Informatique Science du Numérique en 2014, je me suis orienté vers PACES à Brest; je n'ai pas été autorisé à continuer donc je me suis réorienté vers une Licence d'Informatique (IFA) à l'UBO de Brest que j'ai validé en 2019 puis un Master Informatique Logiciels pour les Systèmes Embarqués validé en 2021, également à l'UBO, et enfin j'ai été accepté à poursuivre mes études en Doctorat en Informatique mention Architecture Numérique à l'UBS en 2021 au terme de mon Master Informatique.

  • En complément, auriez-vous un trait de votre personnalité, une anecdote à partager pour mieux vous connaître ?

Je suis quelqu'un de curieux qui aime relever des défis et me dépasser.

  • Pourquoi participez-vous à MT180 ?

Afin de participer à la communication scientifique et diffuser ce qui peut se faire dans le milieu de la recherche.

  • Qu'est-ce qui vous paraît le plus difficile à réaliser dans l'exercice ?

Le plus difficile c'est de vulgariser le sujet de thèse qui peut être extrêmement technique et donc difficile à comprendre pour tout le monde.

  • Qu’est-ce que les 2 journées de formation vous ont apporté ?

Ces 2 journées de formations m'ont beaucoup apportés notamment sur comment se placer sur scène (porter la voix, le regard, les mouvements), comment vulgariser et donner des pistes de vulgarisation, ça a permis aussi de s'exercer à l'exercice en face d'un petit public de tous domaines.


David-Rivoallan
  • Quel est votre parcours ?

Je suis aujourd’hui doctorant. C’est une étape de ma construction intellectuelle et personnelle qui s’inscrit dans un parcours plus large de formation, d’ouverture et de découverte patrimoniale et culturelle. Je suis aussi professeur des écoles, j’enseigne en filière bilingue et je souhaite continuer à me former et à m’investir dans le champ de la production intellectuelle en Bretagne.

  • En complément, auriez-vous un trait de votre personnalité, une anecdote à partager pour mieux vous connaître ?

S’investir à l’université, se dire que l’on est capable de transcrire, d’interpréter et de transmettre est un long processus qu’une rédaction de thèse soulève et permet d’atteindre. Je suis animé par ce désir de toujours connaitre, chercher, comprendre les témoignages du passé qui anime mon quotidien.

Les nombreuses heures passées aux archives à ouvrir ces boites, à découvrir les lettres, les lire, les analyser, les recouper font de moi un chercheur insatiable, toujours animé par la surprise qui m’attendra dans la prochaine boite.

Ma première recherche portait sur le journal d’un brestois pendant la Seconde guerre mondiale, celle-ci sur des correspondances, quelle sera la suivante ?

  • Pourquoi participez-vous à Ma thèse en 180 s ?

Je me suis inscrit à ce concours pour me soumettre à un exercice réputé difficile.

  • Qu'est-ce qui vous paraît le plus difficile à réaliser dans l'exercice ?

Synthétiser un document qui compte plusieurs centaines de pages en une seule et le présenter devant un public nombreux et averti. Diffuser un savoir et le rendre accessible n’est pas simple, surtout lorsqu’on doit le réaliser dans un temps limité à 3 minutes.

  • Qu’est-ce que les 2 journées de formation vous ont apporté ?

Ces 2 journées m’ont permis de sortir de l’isolement que connaissent les doctorants pendant leurs recherches. J’ai également pu m’intéresser aux sujets d’autres doctorants et à leurs approches. Enfin j’ai ressenti ce que le terme de communauté veut dire, par l’entraide et les partages que nous avons eu ensemble.